​La COP21 « reconnaît le rôle des acteurs non étatiques dans la lutte contre le changement climatique, notamment les villes, les autorités locales, la société civile et le secteur privé ». Aussi, l’Accord de Paris invite ces derniers à « accroître leurs efforts et à soutenir les actions visant à réduire les émissions ». En cela, l’« énergie animale » n’a pas fini d’étonner par l’étendue des services qu’elle peut rendre dans les collectivités au profit de citoyens en quête de valeurs sûres et d’un développement durable et dorénavant salvateur. Ainsi, les villes d’Annecy, Trouville-sur-Mer, Les Mureaux, Nanterre, Hennebont, Uzerche, Rueil-Malmaison, Avoriaz, Maisons-Laffitte, Pont-Sainte-Marie, Vendargues, Saumur, Bois-le-Roy, Sciez-sur-Léman, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Beauvais et des centaines d’autres font appel aux chevaux, ânes et mulets pour certains services. Tour de France.